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    L'heure, c'est  l'heure!

    Avant l'heure, ce n'est pas l'heure,
    Aprés l'heure, ce n'est plus l'heure...
     
     

     

    Tic Tac Tic Tac   Tic Tac   Tic Tac


    J'ai peur de la mort et je ne craint pas de le dire!

    Je sais que c'est inéluctable; mais c'est ma façon à moi de démystifier ce qui fait parti de la vie... et comme une provocation, je me persuade que j'ai le contrôle sur ce qu'il adviendra de moi... à la fin. 
    J'ai terriblement peur de ne pas avoir accomplis tout ce que j'avais projeté de faire. 
    Peur de ne plus pouvoir contempler un lever de soleil. Peur de ne plus avoir le privilège de sentir une rose parée de la fraîche rosée du matin. Peur de ne plus écouter le chant des oiseaux, de plus serrer dans mes bras ceux que j'aime.

     



    J'ai peur de la souffrance que peut engendrer une grave maladie; mais j'ai au moins le courage d'avouer mon appréhension d'une terrible fin et c'est pourquoi je lance à l'existence, comme un défi, en sachant très bien que ça ne rime à rien qu'à me rassurer, sans plus:


    "- Je refuse de mourir avant d'avoir accompli ce pourquoi je suis sur cette terre!
    J'aime la vie et j'ai une furieuse envie de vivre envers et contre tous les obstacles
    qui peuvent ou pourront, à l'avenir, se
    dresser sur ma route!
     La vie vaut la peine d'être vécue!

     

    Seigneur! Laissez-moi accomplir la tâche pour laquelle je suis sur cette terre! Vous m'avez tellement éprouvé

     à ma naissance et depuis que je suis née! Toute ma vie ne fut qu'épreuves et souffrance consciente ou incompréhensible parce que trop jeune pour mesurer la gravité des actes des adultes à laquelle j'avais à faire et trop jeune pour comprendre la porté de leurs actes sur ma vie!...

    J'ai un grand vide en mon âme, mon coeur! Et pourtant!... Pourtant, je ne devrais pas me plaindre car il y a pire que moi!...


     
    Temps! Toi qui nous fais face! Toi qui, de minute en seconde, nous fait vieillir un peu plus chaque jour qui s'additionne en une pyramide de bobos insignifiants qui prennent de l'importance au fur et à mesure que tu t'écoules insidieusement dans nos veines! Toi qui, insensiblement nous mène aux portes de l'éternité. Ô Temps! Toi si précieux! Toi que nous gaspillons comme le ferait un enfant su plus beau de ses jouets! Tu vas trop vite! De nos heures constituées de secondes, de nos mois qui s'égrainent en années, tu nous prives de toi,  tu nous prives de cc qui fait un des charmes de l'existence lorsqu'elle se fait douce; mais si tu de dérobes aux uns, tu te donnes aux autres: le nouveau né dans son berceau! A peine ouvre t-il les yeux sur le monde, qu'il est déjà sous ton emprise! La jeune fille pleine de fougue et d'énergie, encore une toute jeune femme bercée de rêves et d'illusions, à peine est-elle sortie de l'enfance, qu'elle s'entend souvent répéter par ses aînées, comme une rengaine qu'elle ne peut plus supporter parce que trop entendu, ces mêmes mots assommants dont elle n'a que faire:
     
    "- Oh, tu es jeune mon enfant! Tu as la vie devant toi! Tu as le temps!"

    Le temps... Tout le monde sait que le temps passe très vite et qu'il n'est que très relatif! Le temps n'est là que pour nous permettre de le fractionné et lui donner une consistance afin de le rendre visible à nos yeux! Le temps est quelque chose que l'homme ne peut dompter! Le temps s'en va passe et fuit et contre ça, l'homme ne peut rien! Si nous ne lui avions pas donné une apparence en le divisant en secondes, minutes, heures, mois, années, il n'y aurait pas de présent ni de passé et encore moins d'avenir! Nous serions là, au même titre que les animaux et ce serait tout! L'homme à voulut, parce qu'il a une intelligence, le quantifier pour avoir un semblant de contrôle sur lui! Pour le maîtriser! Y est-il arrivé? En apparence, peut-être! Je dis bien, peut-être; mais en réalité, non. Nous ne faisons que le subir.

    C'est simple! Regardons les prisonniers. Ils perdent la notion du temps quand il sont en chambre d'isolement. Ils leurs faut faire des petits bâtons qu'ils quantifient par petits paquets de sept représentant une semaine de leur captivité qu'ils gravent dans le mur de la cellule pour ne pas oublier depuis combien de "temps" ils sont enfermés! Ceci est bien la preuve de la relativité du temps!...

     
     

    Ô Temps! Toi, le temps! Comme nous aimerions freiner ta course§

     
     
    Le pauvre vieillard, lui, te consomme jusqu'à la limite de ses forces. Jusqu'à l'ultime étincelle de vie persistante en son regard éteint et fatigué. L'ultime souffrance, désespérance, indifférence, lassitude, solitude qu'il doit subir jusqu'à son dernier souffle. Les douleurs qu'il ressent au plus profond de son être,quelles soient dû à la solitude,qu'elles soient physiques ou psychologiques, son corps engourdit ne les accepte plus. Le pauvre vieux se racornit et se tasse? Les os de ses jointures rouillées, grincent, ses cartilages et tendons lui disent que le grand sablier de la vie qui chronomètre la longue marche des vivants, pour lui, s'est presque entièrement dévidé. Que tu lui est compté. Qu'il n'a plus rien à faire sur cette terre que de tirer sa révérence. Que tu es derrière lui...

    Pourtant, l'existence à du bon sous ton aile! Nous aimons la vie!Malgré nos malheurs, nos peines et nos désillusions, nous ne pouvons ni ne voulons (certainement par peur de ce qui nous attend de l'autre côté du miroir), nous résoudre à t'abréger.

     

    Tu es le temps. Tu es incompressible, incontrôlable et perpétuel. Ta cadence est régulière et ininterrompue depuis le commencement du monde. La naissance de l'humanité n'échappe pas à la règle! Nous ne sommes que de simples voyageurs qui, une fois embarqués dans le train de la vie, devrons attendre et redouter le moment fatidique où celui-ci ralentira pour, enfin, s'arrêter et laisser descendre les passagers n'ayant qu'un aller simple pour un voyage sans retour.

    Tu ne nous laisses guère le choix d'entrevoir aucune autre alternative qui vaillent vraiment la peine de continuer notre route! Jusqu'à l'arrêt complet du convoi! Nous qui sommes désillusionnés, désabusés, vieillis par nos divers choix, nos parcours hasardeux, si fatigués, nous en arrivons à regretter le moment fatidique où nous devrons descendre sans nous retourner pour nous en aller vers d'autres ailleurs...
     

    Nous, grands voyageurs de l'inconnu, ne te subissons que l'espace d'une vie; mais c'est encore trop peu! Trop peu pour avoir eu le temps de tout faire! Que notre vie soit douce, longue, courte et cruelle, nous ne pouvons ni ne voulons nous dérober à ton emprise et si l'envie nous effleure de t'écourter, l'espérance de jours meilleurs (faisant partie, pour certains, de la peur que nous avons d'accomplir le geste fatal nous conduisant au sommeil éternel), nous fait reprendre courage pour accomplir le reste de notre route constituant notre destiné qui nous est personnellement impartie, ce qui nous fait cheminer, malgré notre peur de la dame à la faux, dans les dédales incommensurables de ton être impalpable...

    Nous gravissons les marches de l'escalier de notre existence sans bien nous rendre compte que tu nous emmènes aux portes du néant. L'échelle de Jacob est longue et pourtant si courte!...

     

    Il est trop tard! Trop tard, lorsque nous, nous apercevons que ton empreinte s'inscrit en marques profondes sur nos visages encore jeunes! Trop tard, lorsque au bout d'un faux pas, nous désirons faire marche arrière! Faire le chemin à l'envers! Recommencer sa vie? Une seule fois sa vie! Qui n'a pas rêvé de repartir à zéro? Cela peut nous laisser songeurs!...

    Mais le train de la vie ne va jamais à reculons! Et toi,le temps, tu ne te prêtes pas à ce petit jeu!...
     

    Pourtant, je n'ai pas assez goûté aux simples joies de l'existence, aux doux plaisirs de connaître une enfance heureuse pour que tu te permettes de mettre des rides sur mon front encore enfantin! Non! Je n'ai pas assez vécu! Frustrée de mes années tendresse autant que celles de mon adolescence, je me les considère comme dues! Je refuse que tu abrèges mes jours sous prétexte de maladies, d'accidents ou de toutes autres fatalités qui pourraient écourter mon passage en ce monde! Je m'octroie le droit de revendiquer mes années manquantes que j'ai effectué sans bien me rendre compte que ma fuite en avant était déjà commencée. J'attends de toi de l'indulgence! Je n'ai que trente ans! Ou bien trente cinq ou encore quarante! Ou peut-être cinquante! Pas tout à fait cinquante?Ah,Oui? Quand même cinquante?! Que ça passe vite!...

    Aller! Pour faire bonne mesure, cinquante cinq! Qui dit que je n'en ai pas soixante?... Je navigue donc sur les vagues de ces eaux là? Sur les vagues de la cinquantaine?Ou bien de la soixantaine? Qui le croirait?...
    Je n'ai pas l'âge de mes artères! On ne me donne pas l'âge de mes artères! Dans ma tête, j'ai vingt ans! Oui! J'ai vingt ans!...
     
     

    De la clémence, tu n'en as pas! Indifférent à mes exigences, à mes petits bonheurs, petits tracas, petites espérances ou désespérances, tu passes sur ma vie sans te soucier des effets dévastateurs que tu causes sur mon corps qui hurle sa jeunesse pas tous les pores de sa peau!

     
    Chaque fois qu'une nuit s'achève, lorsque mon miroir reflète mon image, je les remarque ces traits bouffis, fatigués où d'infamantes petites rides, pendant que je dormais, se sont installées sans complexe, en sournoises, au coin de mes yeux, au dessus de ma bouche charnue: juste sous mon nez, au dessus de ma lèvre supérieur, aux commissures de mes lèvres encore lourde de sensualité, sans oublier le terrain propice et privilégié de mon cou encore ferme, invisiblement mais légèrement flasque qui voudrais encore se payer le luxe de refuser d'accueillir la naissance du petit double menton hypocrite et dernier né des dégradations biologiques et temporelles dont sont constituées nos cellules et dont nous sommes les victimes non consentantes...
     
    Bientôt, avec une insistance non dissimulée, mon petit double menton se sera installé pour de bon ayant décidées de tenir, avec fatalisme, compagnie à ces sournoises demoiselles qui, chaque jour un peu plus, gagnent du terrain en surface et en profondeur sur ma peau toujours lice et veloutée en apparence; mais de plus en plus luisante de crème anti-âge...
    Pourquoi, le temps? Dis-moi pourquoi, lorsque de petites joies nous inondes, sembles-tu passer si vite sur nos petits bonheurs? Te soustraire à nos béatitudes?...Et pourquoi, le temps? Pourquoi, lorsque la tempête fait rage dans nos coeurs,dans tout notre être et sur nos corps encore fermes, pourquoi prends-tu tout "ton temps" pour passer sur nos regrets, nos remords, nos silences lourds de tous les sous-entendus inavouables qui nous font mal et nous rongent, ce qui nous épuisent à petits feux?
    J'ai bien peur que tu ne puisse pas y changer grand chose! Ce n'est qu'une impression! Une simple illusion!... Et tu es et resteras le temps perdu qui ne se rattrape jamais plus...

     

     
     
    N.Ghis.Melody/Lady Oslo/La main et la plume,
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    4 commentaires
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     Je vous ai mis cette vidéo qui comme vous l'avez vu, a été écrite par Boris Vian et qui est toujours d'actualité. Oh! Il y a bien d'autres versions; mais celle-ci est l'original et dans d'autres versions, certaines paroles sont changées. "Il faut rendre à césar ce qui appartient à César!" Ce qui veut dire, pour ceux qui ne connaissent pas ce terme) Que rien ne vaut les textes originaux et je rends hommage à ce grand homme qui avait des tripes pour écrire un texte aussi fort à l'époque de la guerre d'Algérie!

    Merci Monsieur Boris Vians: Je suis de votre avis: les guerres ne servent à rien, (pas plus hier qu'aujourd'hui), qu'à enrichir tous ceux qui le sont déjà assez pendant que des centaines de milliers de gens crèvent de faim!!!

     

     

    Le Déserteur 

     

    Je ne suis qu’un point dans l’espace.

    Je ne suis qu’un homme déçu:

    Un point indéfini, perdu dans l’infini.

    Point d’interrogation à la face du monde

    Qui se fiche de tout ce qui n’est pas son nombril.

    Je ne suis pas un moraliste! Je suis simplement triste.

    Qui sont mes frères? Sont-ils mes frères?

    Je ne sais plus. Quoi qu’il m’en coûte, j’ai des doutes.

    Ils préfèrent au silence le bruit de leurs canons.

    Ils préfèrent leurs armes aux plaintes entendues.

    Je ne suis pas plus que les autres!

    Je ne suis qu’un point dans l’espace.

    Rien qu’un tout petit point bien triste

    Que les humains se voilent la face.

    J’aimerai que les hommes arrêtent de se battre.

    J’aimerai qu’ils arrêtent de se massacrer.

    Qu’ils regardent en face leur terre dévastée.

    Il est temps, pour nous, de changer!

    Il est bien temps, maintenant, de se réveiller!…

    Des enfants sautent sur les mines anti-personnalité

    Qui les prive d’une jambe ou bien des deux,

    Leurs déchiquetent les mains, les défigurent:

    Elles en font des estropiés, des enfants sans avenir

    Quand elles ne les tuent pas sur le coup! 

    Ils luttent seuls pour leur survie.

    Se souviennent-ils de leur prénom?

    Ont-ils vraiment un avenir?

    Leurs yeux trahissent leur souffrance.

    Leurs yeux trahissent leurs errances.

    Et si, pour des oiseaux, on dit: « Du plomb dans l’aile »,

    Et bien, pour ces enfants, on dit: « Plomb dans le sang. »

    Je ne suis qu’une femme! Un humble détracteur:

    Petit point dans l’espace des races, comparé à ces hommes

    Qui ne pensent qu’au profit. Moi, je pense aux enfants:

    Ces enfants qui ont froid. Ces enfants qui ont faim!

    Ces hommes de demain qui, déjà, n’ont plus rien.

    Le monde n’a vraiment rien compris

    Que ce qu’il y’a de plus précieux sur la terre, c’est la vie!

    Pour chaque bombe que l’on sème sur les villes,

    La mort prend son tribut sur le dos des civils.

    Nous savons que la haine n’engendre que la haine.

    Toutes les guerres font des ravages!

    C’est révoltant; mais comme le dit le vieil adage:

    « Pour mourir, il n’y a pas d’âge. »

    C’est toujours les civils qui sont mutilés.

    Ce sont encore de pauvres gosses qui sont tués.

    Si les chefs de guerres voulaient admettre leurs erreurs?

    Il est temps de faire marche arrière!

    Il est encore temps de prendre conscience

    De ce que les hommes ont à perdre

    En laissant aller leurs pulsions meurtrières…

    Si les fusils savaient se taire au profit de mille prières?

    S’ils avaient seulement compris l’inutilité des conflits?

    Alors, je n’aurais pas perdu mon temps.

    Et n'aurais pas écris, prier, crier, hurler pour rien.

     

     

    La Rose De Janvier/Amour Passion


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    <param" href="http://www.youtube.com/v/elg-DsFrKjk?fs=1&hl=fr_FR&amp;rel=0&amp;color1=0xcc2550&amp;color2=0xe87a9f&amp;border=1"><param">Chez les êtres humains, il y aura toujours des monstres de cruauté, des dictateurs pour opprimer les peuples et ça, depuis le commencement du monde. On ne se débarrassera jamais de la cupidité de certains hommes qui veulent le pouvoir pour s'en mettre plein les poches au détriment des plus démunis. Dans un peu plus de deux mois, la fin d'année et la froidure seront là avec son lot de gens crevant de faim et de froid dans nos rues, sous notre nez et malgré notre empathie pour ces pauvres gens, nous ne pourrons guère faire grand chose; mais le gouvernement qui lui, peut agir, n'aura toujours rien fait pour améliorer le sort de ces mal lotis. Comme quoi, que ce soit les gouvernement de droite, de gauche, du centre, de l'extrême droite ou de l'extrême gauche, Ils sont tous bons à mettre dans le même sac! Ils sont "Bonnet blanc et blanc bonnet"... Je ne suis pas la plus mal lotie; mais je ne peux m'empêcher de penser à tous ces pauvres gens sans grand avenir et qui sont exclus de la société active et concidérés comme des chiens errants... pas mieux!</param"></param">

     

    Y'en a mare du terrorisme et des guerres!!! 

     

     

     Pourquoi ?

    (RAP)

     

     

    Que faire de mes prières

    Si tu n'écoutes pas?

    Pour qui sont mes colères

    Si tu ne réponds pas?

    Ici, tout me révolte!

    Pourquoi tu bouges pas?

    Mon âme est en révolte!

    Pourquoi tu n'es pas là?

    Depuis plus d'deux mille ans qu'on attend

    Le jour dernier du jugement

    Se sont battus des millions d'hommes

    Qui prônent leur justice et leurs lois.

    Sous prétexte de leurs bons droits

    Ils terrorisent d'autres hommes

    Des fanatiques, toujours dégomment

    Et massacrent au nom de quelle foi?!

    Tu laisses faire les guerres

    Qui fauchent à tour de bras

    Et les échecs d'hier

    Ne servent même pas!

    Les leçons d'autrefois

    Restent toujours d'acua

    Que fais-tu de nos vie

    Ou qu'est-ce que tu n' fais pas?

    Pour sauv'garder leurs opinions

    Des homm's ne pensent qu'au combat

    Pour que prévalent leur religion

    Qu'ils veulent première ici-bas.

    Les uns gardent leurs positions

    Les autres n'en démordent pas.

    Les peuples souffrent d'invasions

    Et qu'il advienne que pourra.

    Pourquoi  faire des prières

    Si tu n'écoutes pas?

    Pourquoi tout's nos colères

    Si ça te laisse froid?

    Vers qui montent les âmes?

    Vers un dieu? Un tirant?

    Avons-nous donc une âme

    Ou le mensonge est grand?!

    Rien n'a changé au court des temps:

    Tout est pareil, rien comme avant!

    J'ai l'impression que l'on se bat

    Pour un Dieu qui n'existe pas.

    Je voudrais bien garder mon calme;

    Mais je n'suis pas dupe des lois!

    Et les mensong's sont comm' des armes

    Qui mènent nos vies à trépas.

    Tu laisses faire les guerres

    Qui fauchent à tour de bras

    Et les échecs d'hier

    Ne servent même pas!

    Les leçons d'autrefois

    Restent toujours d'acua

    Que fais-tu de nos vie,

    Ou qu'est-ce que tu n' fais pas?

     

    Les homm's  ne sont que des pantins

    Aux profits  des gouvernements

    Les homm's ne sont que des pantins

    Bombes humaines , mais pour quelle foi?

       

       

    Monstres de guerres pour des galons.

    Plus de patrie et plus de nom.

    Dieu! Entends-tu seul'ment nos voix?

    Tu es un Dieu pour qui, pour quoi?

     Pourquoi? Pourquoi, Pourquoi?

     

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